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لفتة إلى ملاحظات الشيخ ربيع على أصول كتاب الإبانة en Français

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  • لفتة إلى ملاحظات الشيخ ربيع على أصول كتاب الإبانة en Français

    بسم الله الرحمن الرحيم
    و الصلاة و السلام على نبينا محمد
    وآله وصحبه اجمعين




    Aperçu des remarques de notre cheikh, le père, : Rabi3 Bin Hadi Al Madkhali hafizahu Allah sur les règles du Livre


    "Al Ibana"  de Cheikh Mohammed Al Imam
    

    Cheikh Al Imam a défendu son livre en indiquant que cheikh Rabi3 ne se souvenait pas avoir revu le livre et que c'est après lui avoir rappelé ses propres annotations que Cheikh Rabi3 s'en est souvenu et a entrepris une nouvelle lecture. Puis il lui a envoyé ces feuilles avec des remarques sur son livre.
    Ensuite Cheikh Al Imam a lu l'en-tête de ses feuilles envoyées par cheikh rabi3 devant ses élèves et a dit :

    Cheikh Rabi3 dit : « Je vous informe que j'ai revu la plupart de votre livre 'Al Ibana. Lors de cette lecture j'ai fait certaines remarques qui sont les suivantes (puis cheikh Al Imam dit : «Et ces remarques sont mentionnées dans ces feuilles-ci »et il les brandit à ses étudiants). J'apprécierai que vous acceptiez ces remarques, que vous révisiez le livre une deuxième fois pour les constater vous-même, afin d'atteindre le but qui est visé par votre livre et afin que s'arrête le qil wa qal ('les ''on dit'''). Qu'Allah vous raffermisse dans votre chemin (1) »

    Dans cette audio, Cheikh Al Imam nous a cité quelques paroles de Cheikh Rabi3 et à soi-disant mis les points sur les "i" et nous a démontré ce qui était caché, car effectivement il y avait beaucoup de "on dit " (Qil Wa Al Qal) comme lui a dit Cheikh Rabi3 (2)

    Nous pouvons tirer de cette audio plusieurs enseignements :

    Le Premier :

    C'est que Cheikh Al Imam doit rapidement montrer et expliquer ces remarques, leurs nombres leurs endroits dans le livre.
    Car ici, ce n'est pas une feuille, mais des feuilles dont il est question (3).
    Ensuite il est obligatoire de les faire circuler publiquement.
    Par ailleurs nous aimerions que Cheikh Al Imam nous explique la raison pour laquelle il revient sur ses erreurs et les corrige, pour que ses étudiants qui se sont accrochés au livre, puissent comprendre.
    Et s'il corrige une erreur, il doit aussi en donner la raison pour que la vérité apparaisse clairement et d'une façon évidente.

    Egalement, dans son petit discours Cheikh Al Imam aurait pu au moins dire de quelle nature étaient ses remarques. Si elles étaient sur le Minhaj - et cela c'est le plus probable- pour que ses disciples fassent attention et prennent garde, car cela touche à la religion et c'est un dépôt sur les épaules de chacun.

    Deuxièmement :
    
    Nous voudrions connaître à présent la position de ceux qui ont fait les éloges de ce livre, avant que ne sortent les remarques de Cheikh Rabi3.
    
    Car parmi ceux qui l'ont vanté, quelqu'un a dit que c'était un livre destiné à ceux qui voulait la vérité éclatante et éclairante !!

    Un autre a conseillé que ce livre devait être étudié dans les assemblées de science entre Ahl Sunna et qu'il devienne pour eux une référence .!!!

    Un autre encore, a dit que ce livre méritait que l'on voyage pour se le procurer et a conseillé de le lire et de l'enseigner!!! (4)

    Nous aimerions également connaître la position de Cheikh, le père 3abdal Mohsine Al 3abbad, surtout qu'il en a fait l'éloge.

    Egalement la position de Cheikh Sohaymi, car les changements qu'il y aura dans le livre risquent d'être nombreux.

    Puis une autre catastrophe est à noter :

    les imitateurs aveugles qui enseignent ce livre à leurs étudiants dans leurs mosquées. Qui, va les informer qu'il y a des corrections dans le livre et comment vont-ils faire pour rattraper les erreurs avec lesquelles on leur a bourré le crâne !

    Une autre catastrophe pas moindre que la première c'est que :

    Ce livre est devenu une référence pour beaucoup de groupes hizbis comme ceux des ikhwans, de ceux des associations, des laxistes à l'exemple d'Al halabi et ses confrères.

    Qui va donc les informer des remarques, puisque cheikh al Imam n'a lu que l'en-tête de la lettre de Cheikh Rabi3 à ses étudiants, sans rien expliquer ?

    Al Halabi a fait des éloges sur ce livre et a sauté de joie en disant que c'est un bon et excellent livre et qu'on pouvait le considérer comme étant une deuxième copie de son propre livre.

    Il dit :

    « Il a (Al Imam dans son livre Al Ibana) 100 citations de Ibn Taymiya et moi j'en ai 110, lui a 40 citations de Ibn Qayyim et moi j'en ai cité 48, donc tu peux juger, mon livre a été édité un an avant le sien et je lui ai envoyé mon livre avant qu'il ne soit publié »


    Ce qu'a dit Cheikh Rabi3 et ses remarques, sont en fait un coup fatal pour lui (Al Halabi) et ses partisans qui pêchent en eau trouble.

    Il est donc urgent de publier ces remarques (de Cheikh Rabi3) pour compléter les remarques faites précédemment par Cheikh Yahya et ses nobles étudiants.

    Troisièmement :

    Cela nous montre le peu de clairvoyance des cheikhs qui ont complimenté le livre (sauf cheikh rabi3 qui a fait des remarques dessus), dans le sens où ils n'ont pu voir les erreurs de ce livre, ni faire aucune remarque sur celui-ci.

    Jusqu'à maintenant nous avons entendu dire que cheikh al Imam a rectifié jusqu'à peu près 30 points ou façon de s'exprimer, comme nous l'a dit le frère Fawwaz Al Qa3wani et c'est une bonne nouvelle.

    S'il les rassemblait avec celles de Cheikh Rabi3 ce serait un grand bien. En y incluant les remarques faites par Cheikh Yahya dans sa lettre (Mujmal Attaqwim wa siyana li ma jama3ahu Cheikh Mohammed al imam fi kitabihi al ibana ici)

    Ainsi que les remarques faites dans le livre des éminent frère Da3ass

    (tanzih asalafiya mima fi kitab al ibana li cheikh mohammed al imam min choubohate wa qawa3id khalafiya)

    Youssouf al jaza'iri
    (Misbah Azzalam al waqi3 fi kitab al ibana li cheikh mohammed al imam

    Al Hammadi
    (Al i3ana li tashih akhta' kitab Al Ibana)

     
    Si Cheikh Mohammed Al Imam pouvait prendre toutes ces remarques et ces conseils, comme il l'a fait pour les remarques de cheikh rabi3 ce sera un grand bien.

    Surtout que cheikh rabi3 lui a conseillé de relire le livre une autre fois quand il lui a dit « J'apprécierai que vous acceptiez ces remarques, que vous révisiez le livre une deuxième fois pour les constater vous-même afin d'atteindre le but qui est visé par votre livre » De cette façon il aura sauvé son livre de l'égarement, s'il lui reste quelque chose à sauver.

    Quatrièmement :

    Pourquoi accepter le conseil avec un poids deux mesures.

    Cheikh Mohammed Al Imam a accepté les remarques de cheikh rabi3 avec grande joie et accepté toutes ces remarques sans exceptions et Allah connaît mieux leurs nombres.

    Alors qu'il n'a pas accepté les conseils de Cheikh Yahya le conseiller digne de confiance et ses remarques ni celles de ses étudiants en science, alors que cela avait été fait en privé.

    Il aurait dû donc dire du bien de ceux qui l'avaient conseillé et faits des remarques en premier.

    Sinon pourquoi ce bonheur pour un conseil et pas pour l'autre ?

    Pourquoi respecter le conseil de Cheikh Rabi3 et mettre à la marge les conseils des autres.

    En sachant que cheikh Mohammed a annoncé qu'il acceptait tout conseil de ses frères ?

    Que peut-il bien se cacher derrière tout cela ?!

    Cinquièmement :

    Cela nous enseigne également que le livre est critiqué et qu'il y a eu des remarques faites sur celui-ci. Ce qui nous montre par conséquent l’invalidité de la parole d’Al Imam qui est : « le livre se défend lui-même » car les remarques de Cheikh Rabi3 dont on ne connaît pas le nombre, et les critiques de cheikh Yahya et de ses étudiants, contredisent cette parole.

    Sixièmement :

    Cheikh Al Imam a dit qu'il était "apaisé en sachant que le livre 'Al Ibana' se défendait lui-même". Ceci fait partie des choses incroyables de Cheikh Al Imam qu'Allah le guide.

    Le livre est rempli d'innovations et de règles qui sont contraires au Minhaj Salafi.

    On ne peut rejeter l'innovation qu'avec la Sunna.
    Et on ne peut faire mourir l'innovation qu'en la réprimant avec la Sunna, car l'innovation ne s'autodétruit pas.

    Donc Cheikh Mohammed Al Imam doit revenir sur cette parole « le livre 'Al Ibana' se défend lui-même » et doit la changer en disant : « le Livre est sujet aux erreurs et celui qui en voit une, doit la rectifier » C'est ainsi qu'étaient les Salafs, quand ils écrivaient.
    Car l'humain est sujet à l'erreur et à la faute et nous n'avons jamais vu un auteur fier de son livre le dire avec cette manière et ce style.

    Le livre est donc maigrichon et ne tient pas debout, encore moins qu'il puisse se défendre lui-même.!!!

    A partir du moment où cheikh Rabi3 a fait des remarques sur le livre Al Ibana et que l'auteur a reconnu par là qu'il y avait des erreurs, mais sans les démontrées jusqu'à aujourd'hui, en sachant :

    - qu'il n'est pas permis de remettre à plus tard l'éclaircissement d'une chose alors qu'on en a besoin (règle de Fiqh : la yajouz ta'khir al bayane 3ida Al Haja)
    et
    - que nous ignorons quand sera publié la deuxième édition du livre

    C'est donc pour cela que j'ai essayé de citer certaine erreur du livre Al Ibana qui correspondent à celles des gens de l'innovation.

    En demandant le secours d'Allah puis en m'aidant des répliques de Cheikh Rabi3 aux gens de l'innovation.
    Nous savons aussi que le livre "Al Ibana" est considéré comme une revivification des règles de Abou Al Hassan, de Al Maghrawi, de 3ar3or et d'autres et que les répliques de Cheikh Rabi3 ne sont pas restreintes à ceux-là, mais à tous ceux qui prennent leurs chemins et en on fait une voie.

    Je vais ici, citer quelques règles fausses et des erreurs, en mettant la réplique de Cheikh Rabi3 sur celles-ci.

    traduction à suivre sur cette même page in cha Allah ....

    écrit par Khalid Al Ghorbani Admi du site sans inconnus Al Oloom Salafiya, pour télécharger Ici
    *********************
    (1) Ici les menteurs du forum de la hizbiya et des menteries "maintenant tu sais" épaulés dans leurs impostures et attaques contre Ahl Sunna par les égarés de Al Fourqane ont traduit : « J'apprécierai que vous acceptiez ces remarques et je compte faire une deuxième révision afin d'atteindre le but qui est visé par votre livre et afin que s'arrête le qil wa qal ('les ''on dit'''). »

    Comparé la traduction erronée de ces hizbis des menteries qui, pour égaré et feinter les gens font croire que c'est cheikh rabi3 qui va lire une deuxième fois alors que c'est cheikh rabi3 qui demande à Cheikh Al Imam de relire lui-même une autre fois.

     
    (2) C'est ironique, car Cheikh Al Imam n'a absolument pas démontré les erreurs qu'il avait dans son livre à travers les remarques qu'il ne cite pas de Cheikh Rabi3. Mais c'est contenté simplement de montrer les feuillets.

    (3)Ce que les hizbis du forum des menteries se sont bien cachés de traduire correctement et dont les égarés et traîtres à la da3wa salafiya "le forum Al forqa" ont diffusé.
    Car ils traduisent "ces remarques sont mentionnées dans la lettre de cheikh Rabi'"
    Alors que Cheikh Al Imam parle ici de Awraq qui sont "plusieurs feuilles" et non le mot " lettre", qui minimise l'ampleur des remarques de Cheikh Rabi" sur son livre dont les hizbiyyines sont les premiers distributeurs et premiers supporters à l'exemple du forum de la Hizbiya et des menteries "maintenant-tu-sais".


    (4) Voir ici pour les connaître nommément

  • #2
    Cheikh Mohammed Al Imam dit dans son livre "Al Ibana" Page 38


    « Un Sunni ne devient pas innovateur du fait de sa présence avec un groupe ou un hizb si c'est pour des intérêts qui touchent à cette vie d'ici-bas, à partir du moment qu'il aime Ahl Sunna et qu'il a les mêmes croyances »



    Et Page 248
    «S'il arrive qu'un homme connu pour être un Sunni fait des erreurs. Le plus équitable, est qu'il faut que l'on laisse ses erreurs, mais lui on ne le délaisse pas, à partir du moment où c'est un Sunni. Mais ce qu'il y a maintenant comme exagération de la part de certains de nos frères, c'est que s'ils voient qu'il fait des fautes, ils le délaissent complètement . Quelqu'un peut dire : Oui mais je l'ai conseillé et il n'a pas accepté. Nous disons c'est bien ce que tu as fait. Car le conseil est un médicament, une guérison et une nourriture. Mais s'il n'accepte pas ton conseil cela n'implique pas automatiquement que tu doives lui faire al hajr (le fuir pour Allah) ou le rendre Hizbi. Car cela concerne la législation et il faut donc s'en remettre aux savants et eux, lui trouvent des issues qui n'arrivent pas au stade de le fuir ni de le rendre hizbi.»


    Cheikh Rabi3 hafizahu Allah dit dans sa réplique à Abou Al Hassan sur la fausse règle "On rectifie les erreurs de la personne, mais on ne le fait pas tomber " :


    «A l'époque des Salafs, il suffisait qu'un homme fasse un seul faux pas dans le domaine de la croyance, pour que les Imams des Salafs et du Hadith, le fassent tomber. Est-ce qu'on va dire pour cela qu'ils cassent, pervertissent et sont des ennemis de la Darwa Salafiya ?


    Qu'a donc fait le khalifa droit, 3omar Bin Khattab, à celui qui s'appelait Sabigh.


    Combien avait Sabigh comme innovations et règles corrompues ?!


    Ce Khalifa (3omar Bin Khattab) avait rassemblé contre lui quatre sortes de châtiments :


    1- La prison


    2- Les coups


    3- Le bannissement


    4- Ordre de le fuir pour une période d'un an jusqu'à ce qu'on ait vu son sincère repentir.»


    Cheikh Al Imam dit dans son livre Page 191-192 :
    Sous le titre :
    Inclure la critique des comportements abjects dans le Jarh wa ta3dil.


    «En tous les cas : les preuves législatives prouvent qu'à la base on doit couvrir ceux qui font des péchés sauf ceux qui les montrent au grand jour. Il est donc demandé de préserver une des bases qui fait partie de cette législation et ne pas déroger à cette règle sauf en cas de nécessité légiféré.


    Si l'on concède que les accusations émises sur un critiqué s'avèrent être vraies, il ne convient pas à celui qui critique de pointer le doigt sur ces turpitudes, pour plusieurs raisons.


    Parmi elles :


    - Le fait d'accuser quelqu'un pour ces choses-là, fait que les gens en arrivent à accuser les savants, prêcheurs et étudiants en science de ces abjections précitées et ceci est une perversion apparente et qui se produit.


    - Celui qui critique une personne pour turpitude, ouvre une voie à ceux qui critiquent, qui pourront dorénavant juger quelqu'un avec cette critique étrange aux Minhaj des savants du Jarh wa ta3dil..»


    Cheikh Rabi3 hafizahu Allah dit dans "Majmou3 al koutoub wa Rassa'il wa al fatawa" 13/170 :


    «Il en est de même pour les choses qui rendent pervers, comme la fornication, boire de l'alcool, donner des intérêts, s'accaparer le bien des orphelins, ainsi que les grands pêchés qui dépassent le nombre de 70, comme a dit Ibn 3abas, leur nombre est même plus proche des 700. Et ceci font partie des causes unanimes pour lesquelles on critique quelqu'un et pour lesquelles la crédibilité de la personne tombe.


    Celui qui fait un acte pervers, on le juge comme étant pervers et nous n'acceptons pas son témoignage, ni ses récits.»


    Cheikh Mohammed Al Imam dit dans son Livre "Al Ibana" (Page 56-57-58)
    «Le Sunni reste sur le Minhaj du groupe de Ahl Sunna même s'il y a une divergence sur lui......!!! »
    il dit :
    «S'il lui apparait que les deux parties qui sont en désacord prennent chacun une voie différente menant à l'innovation et à la hizbiya, alors il les délaisse tous les deux.
    Mais s'il lui apparait que la divergence qu'il y a entre ces deux parties n'atteint pas le seuil où on les rend innovateurs, ni hizbi, dans ce cas là, il reste avec les deux parties dans ce qu'ils ont de juste!(!!!) et ne s'associe pas avec eux dans ce qu'ils ont de faux.(!!!) Et ne peut accéder à cette conduite que ceux qui ont atteint un niveau de perfection et de méticulosité dans la science. » !!




    Cheikh Rabi3 hafizahu Allah dont la cassette "Attaba3iya Al 3amya'"(التبعية العمياء):

    «Nous considérons nos jeunes comme étant au-dessus du suivisme aveugle et nous les poussons à rechercher les preuves, les arguments et les témoignages.


    Et nous ne prenons pas un avis sans que nous ayons les preuves complètes de sa validité et de sa supériorité.


    et Cheikh Al Islam Ibn Taymiya rahimahu Allah a une très belle parole et son sens est :


    Quand il y a une divergence entre Savants , un, prend parti pour un savant et l'autre prend parti pour l'autre savant
    Cheikh Ibn Taymiya dit :
    «Ceci n'est pas permis, interdit! on ne doit pas prendre parti pour quelqu'un que lorsqu'on est sûr que ce dernier est sur la vérité avec des preuves et des arguments clairs»


    C'est-à-dire, si des savants divergent et se divisent en deux parties toi tu choisis celui que tu veux? Ou il est obligatoire pour toi d'étudier cette affaire et que tu l'étudies en profondeur et ensuite si une des parties devient prépondérante pour toi avec les preuves évidentes tu penches vers cette vérité qui t'a convaincu tu la fais triompher et tu la montres aux gens?


    Ce qu'il t'est obligatoire c'est d'étudier et de ne pas prendre parti pour un côté ou l'autre ou pour une partie ou une autre, que lorsque tu as fait une étude approfondie, jusqu'à ce que la vérité devienne claire pour toi, tu te mets de son côté, tu appelles à elle ( à la vérité qui t'es apparu), et tu la fais triompher.»



    Cheikh Mohammed Al Imam dit dans "Al Ibana" page 194 :
    «De manière générale on n'accepte pas la critique venant de quelqu'un de jeune (en science et/ou en âge) sur un savant plus vieux (en science et/ou en âge).»


    Page 47 :


    «...Mais si on a une critique venant d'étudiants en science sur un savant, eh bien en général ils ne sont pas qualifiés pour cela.


    C'est pour cela que tu trouves dans leurs répliques des exagérations, des imprudences et des abus. Il y en a certains même qui essaient de se valoriser en montrant qu'il sont capables de répliquer à un savant, jusqu'à ce que certains en arrivent à attaquer un Savant Sunni dans sa croyance sans qu'aucun savant ne les ai précédé. Regarde cette course à la critique qui leur donne de l'audace pour attaquer les gens de science.


    Je dis donc à ce genre de personne : Si tu continus dans la quête de la science et que tu en tires profit, tu verras dans le futur ton erreur et ton empressement. Alors prends garde de parler sur une affaire dans laquelle nous ne nous sommes pas hâté de parler.»


    On a demandé à Cheikh Rabi3 hafizahu Allah :


    «Le domaine du Jarh wa Ta3dil qui concerne les personnes.
    Est-ce que c'est spécifique aux savants seulement ou même pour les jeunes qui ont des connaissances (sur certaines personnes) ?


    Et que faut-il comme condition pour cette connaissance ?»




    «Dans le domaine du Jarh wa Ta'dil, il est nécessaire d'avoir une Aquida saine comme l'a indiqué Al Khatib Al Baghdadi et il est également nécessaire d'avoir les connaissances sur les causes de la critique.


    Il est obligatoire qu'il les connaisse et qu'il possède également la crainte d'Allah et de la piété.


    Donc, si celui qui critique a de la science dans le domaine du Jarh wa Ta'dil, qu'il ait de la piété et de la crainte (d'Allah), alors il peut critiquer.»
    Majmou3 al koutoub wa rassa'il wa al Fatawa de l'éminent Cheikh Rabi3 Bin Hadi Al Madkhali (page 262-263)


    Cheikh Rabi3 hafizahu Allah en répliquant à Abou Al Hassan dans Majmou3 fatawa Cheikh Rabi3 Page43 en annonation :


    «Oui, le domaine du jarh wa Ta3dil dispose de ses savants et à ses conditions.
    Mais, quand l'innovation est flagrante comme le Chiisme, le Minhaj Jahmi, Mourj'i, Takfiri ainsi que la Hizbiya claire et ses gens sur lesquelles les savants ont parlé, alors il n'y a pas d'objection à ce qu'un étudiant en science puisse mettre en garde contre leur mal.
    Car il ne fait pas partie du Minhaj des Salafs, ni de leur façon de faire, de lancer des attaques contre les étudiants en science qui mettent en garde contre ces catégories.»


    On a demandé à Cheikh Rabi3 hafizahu Allah dans le livre "Ajwibatihi 3ala as'ila Abi Rawaha Al Minhajiya" (16-20)

    «Est- ce que vous conseillez d'éplucher les livres des savants comme le font certains étudiants en science qui épluchent ces livres, pour trouver d'éventuelles erreurs, comme le fait d'inspecter les "silsila" ou bien "sifat salat" (Livres de Cheikh Al Albani rahimahu Allah).»


    Il répond :

    «Par Allah, la porte aux critiques envers Al Albani et les autres savants, est ouverte. Ni Al Albani, ni les autres savants qui sont en charge de la Sunna ne se froissent pour cela.


    Une critique polie qui respecte les savants et qui n'a d'autres but que de montrer la vérité a débuté aux temps des compagnons et ne cessera d'être.
    Regardez le livre du Hafiz Ibn Rajab rahimahu Allah "Al Farq bayna nassiha wa Ta3yyir (الفرق بين النصيحة والتعيير).
    Il a dit d'une façon explicite :


    «Il est indispensable de montrer la bonne voie et la vérité.»


    Sa3id bin Al Mousayyib, Ibn 3abass, Tawous, les compagnons de Ibn 3abass ont critiqué et ont été critiqués et personne n'a jamais dit : Cela est une attaque.
    Personne ne dit cela, sauf les gens de la passion.


    D'accord, on va dire : non non ne critiquez pas Cheikh Al Albani.
    Bon ! Et ses erreurs se propagent aux noms de la religion !
    Donc on ne critique aucune erreur que ce soient celles de Ibn Baz, de Ibn Taymiya, ni les erreurs de personne !


    Il est obligatoire de montrer aux gens l'erreur quelle qu'elle soit et cela, quoi que la personne qui ait commis cette faute ait pu atteindre comme niveau de science. Car comme nous l'avons dit à plusieurs reprises, sa faute sera prise comme faisant partie de la religion d'Allah. Ce qui nous pousse à dire cela, c'est que la critique sur les savants et les critiques des savants les uns envers les autres, sont pour montrer aux gens l'erreur et également pour éviter que cette erreur ne puisse être attribuée comme faisant partie de la religion d'Allah. Le fait de montrer l'erreur n'est pas seulement permis mais c'est obligatoire.
    Il est Obligatoire de démontrer aux gens la vérité et de leur faire distinguer le Vrai du faux.


    وَإِذْ أَخَذَ اللَّهُ مِيثَاقَ الَّذِينَ أُوتُوا الْكِتَابَ لَتُبَيِّنُنَّهُ لِلنَّاسِ وَلا تَكْتُمُونَهُ فَنَبَذُوهُ وَرَاءَ ظُهُورِهِمْ وَاشْتَرَوْا بِهِ ثَمَناً قَلِيلاً فَبِئْسَ مَا يَشْتَرُونَ
    Lorsqu' Allah a prit cet engagement de ceux auxquels le Livre avait été donné: «Exposez-le, certes, aux gens et ne le cachez pas». Mais ils l’ont jeté derrière leur dos et l’ont vendu à vil prix. Quel mauvais commerce ils ont fait!


    لُعِنَ الَّذِينَ كَفَرُوا مِنْ بَنِي إِسْرَائِيلَ عَلَى لِسَانِ دَاوُدَ وَعِيسَى ابْنِ مَرْيَمَ ذَلِكَ بِمَا عَصَوْا وَكَانُوا يَعْتَدُونَ * كَانُوا لا يَتَنَاهَوْنَ عَنْ مُنْكَرٍ فَعَلُوهُ لَبِئْسَ مَا كَانُوا يَفْعَلُونَ

    Ceux des Enfants d’Israël qui n’avaient pas cru ont été maudits par la bouche de David et de Jésus fils de Marie, parce qu’ils désobéissaient et transgressaient.
    Ils ne s’interdisaient pas les uns aux autres ce qu’ils faisaient de blâmable. Comme est mauvais, certes, ce qu’ils faisaient!
    (78-79 Al Ma'ida)


    Donc la critique fait partie de la dénonciation du blâmable. Et le fait de critiquer de grandes personnalités Salafis quand elles font des erreurs ainsi que le fait de démontrer leurs fautes, fait partie :


    - De la prescription du convenable et de la dénonciation du blâmable
    - De ce qu'Allah nous ordonne de démontrer
    - Du conseil qu'Allah nous enjoint absolument de donner...


    Critiquer les erreurs et les innovations tout en démontrant le respect aux gens de la Sunna et aussi en confirmant que celui qui fait des efforts d'interprétation s'il a juste, a deux récompenses et s'il a tort, a une récompense .
    Ceci est un acte de dévotion avec lequel nous adorons Allah et c'est ainsi qu'est la critique envers les gens de la Sunna contrairement aux critiques envers les gens de l'innovation.»

    ref : Ici

    تعليق


    • #3
      Cheikh Al Imam dit dans son livre "Al Ibana" (Page 240) :
      La voie que suivent les Imam du Jarh wa Ta3dil est que : ils ne délaissaient pas le Hadith d'un rapporteur, tant que la majorité de ceux qui critiquent, ne se sont pas mis d’accord sur le fait de le délaisser.
      Page (223) : Toutes ces paroles citées prouvent que les dires de la majorité dans le Jarh Wa Ta3dil prévaut sur les dires de la minorité. Également que les dires d'un groupe prévaut sur les dires d'une seule personne, et c'est la règle établie qui est appliquée dans tous les domaines de la science, que ce soit dans le Fiqh, la linguistique, la croyance, les bases et autres.
      C'est donc la parole du plus grand nombre qui prévaut sur les dires du petit nombre.
      Le fait donc de suivre cette règle, c'est être sur le droit chemin et le fait de ne pas suive cette règle c'est être dans le faux dans la gestion des affaires, sauf s'il y a des preuves.
      Page (221) :
      Si un groupe de savant critique ou fait des éloges sur une personne, alors leur parole est prépondérante sur la parole de quelqu'un d’autres, sauf si le groupe a des preuves qu'ils ne montrent pas.


      Et il dit aussi (page 83) : l'opinion d'un groupe de savant pendant la fitna est plus juste que l'avis d'un seul savant.




      Cheikh Rabi3 Bin Hafizahu Allah dans la cassette Al Minhaj Attamyi3i wa qawa3idouh." المنهج التميعي وقواعده " :


      Est-ce que dans la critique sur les gens de la passion il y a comme condition que tous les savants soient unanimes ou bien un seul suffit ?


      Cheikh :


      Ca ce sont des conditions laxistes répugnantes- baaraka Allahu fik-


      Quelle époque a- t- elle exigée l'unanimité (des savants dans une critique contre quelqu'un) ?


      Qu'elle est la preuve de cette condition ?


      Toute condition qui ne se trouve pas dans le livre d'Allah et la sunna est caduque.
      Et s'il devait y avoir une condition lorsque l'imam Ahmed Bin Hanbel et Yahya Bin Ma3ine ont critiqué un innovateur, Je vais dire : il est obligatoire qu'il y ait l'unanimité des imams de la Sunna dans le monde ? Tous..? Que celui-là est innovateur ?


      Si Ahmed disait : celui-là est un innovateur, tout était fini.


      Et c'est pour cela que lorsqu'Ahmed disait un tel innovateur, tout le monde s'y pliait et ne suivait pas ses passions.


      Lorsque Ibn Ma3ine disait : celui-là est un innovateur, personne ne le contredisait en prétendant l'unanimité des savants, c'est impossible!! Dans tous les jugements législatifs....?


      L'unanimité dans tous les jugements législatifs?... c'est impossible!


      Bon ! Si nous avons deux personnes qui témoignent qu'untel a tué...chez un juge Char3i...il est obligatoire au juge d'appliquer la loi d'Allah : Soit par une compensation matérielle ou bien par la loi du talion.
      Est-ce qu'ici on va dire que l'unanimité est une condition ?
      Alors que cette affaire est plus grave que de rendre quelqu’un innovateur.?
      Ceux qui disent cela sont des Moumayyi3ounes (voir ici l'explication du mot Tamyi3)


      Ceux-là sont des Moumayi3ounes, des gens du faux, des prêcheurs du mal et comme on dit, ils sont ceux qui pêchent dans les eaux troubles.
      Donc n'écoutez pas ces balivernes.
      Si un savant, clairvoyant, critique une personne - baaraka allahu fikum- il est obligatoire d'accepter sa critique.
      Et si un savant juste, maître dans le domaine le réfute, dans ce cas, il étudie ce que disent les deux parties et regarde cette critique et cet éloge. Si cette critique est une critique détaillée explicite, elle devient prépondérante sur l'éloge même si ce multiplie le nombre de ceux qui font les éloges.


      Si un savant vient avec une critique détaillée et que le contredisent 20, 50 savants qui n'ont pas de preuves mais n'ont que le bon sentiment (envers cet homme) et jugent selon l'apparence. Alors que celui qui critique possède les preuves sur la critique de cet homme, dans ces cas là on fait prévaloir la critique. cCar le savant qui critique a en sa possession des preuves. Et les preuves sont prépondérantes.
      Des fois même elles sont prépondérantes si la terre entière le contredit.
      Si le monde entier le contredit alors que les preuves sont avec lui alors la vérité avec lui..
      Al jama3a s'est d'être avec la vérité même si tu es complètement seul.
      Si une personne est sur la sunna et deux ou trois villes innovatrices le contredisent alors que la vérité est avec lui. Alors on fait prévaloir ce qu'il possède comme preuve et vérité sur les faussetés qu'ont les autres.
      Il est obligatoire que soit respectée la vérité et que soient respectées les preuves, et les évidences.


      قُلْ هَاتُوا بُرْهَانَكُمْ إِنْ كُنْتُمْ صَادِقِينَ
      (Dis : «Donnez votre preuve, si vous êtes véridiques».)( Al Baqara 111)


      وَإِنْ تُطِعْ أَكْثَرَ مَنْ فِي الأَرْضِ يُضِلُّوكَ عَنْ سَبِيلِ اللَّهِ إِنْ يَتَّبِعُونَ إِلَّا الظَّنَّ وَإِنْ هُمْ إِلَّا يَخْرُصُونَ
      (Et si tu obéis à la majorité de ceux qui sont sur la terre, ils t’égareront du sentier d’Allah)(Al An3am 116)


      Donc le nombre n'a pas de valeur s'il n’a pas de preuves.
      Si tous les gens de la terre se mettent ensemble à défendre le faux, sauf un petit nombre qui reste sur la vérité.
      Et que ce grand nombre n'a pas de preuve, alors ils n'a aucune valeur. Et le fait d'être d’accord avec eux n'a aucune valeur.
      Même si celui qui s'oppose à eux est seul ou un petit nombre.
      Craignez donc Allah dans la recherche de la vérité, dans le fait de la reconnaître et de l'accepter si elle vient avec des preuves.
      Qu'Allah nous donne à tous la réussite.

      **
      Nous avons traduit les 3/4 du Document avec les passages les plus importants bihamdillah.
      Pour ceux qui veulent Al Haq cette traduction leur suffira
      comme le répètait cheikh Al Albani rahimahu Allah :
      Une seule preuve suffit à celui qui suit la vérité. Quant à celui qui suis ses passions, 1000 preuves ne lui suffisent pas.

      Traduction de l'ecrit de Khalid Al Ghorbani Admi du site sans inconnus Al Oloom Salafiya, pour télécharger Ici

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