Voici donc que Ubayd sort une nouvelle parole (par téléphone comme d’hab) daté du 4 Dhu l Qi’dah 1432H à laquelle
notre shaykh a répondu (le 6) à quatre de ses mensonges éhontés
‘Ubayd Al Jabiri a dit : « Et j’ai déjà dit certaines fois qu’il n’a pas grandi dans la science,
Al Hajuri a grandi au marché car il faisait des boulots au royaume de Su’udiyyah. Il travaillait en tant que professionnel.
Une version dit qu’il travaillait dans un garage.
Une autre dit qu’il travaillait
dans des bazars appelés « tout à deux riyals » ou « tout à cinq riyals.
shaykh yahya a répondu :
Voici deux mensonges et il a enchainé avec un troisième en disant :
« Mais lorsqu’est survenu la deuxième guerre dans la péninsule,
et que le gouvernement yéménite a appelé ses ressortissants qui était en Su’udiyyah à revenir,
il est revenu comme les autres et est parti au markaz de Dammaj.
Et toute personne présente à l’époque sait bien que c’est au cours de 1405H que je suis venu étudier à Dar Al Hadith de Dammaj
auprès de shaykh Muqbil Ibn Hadi Al Wadi’i
Et il est connu des gens que la guerre de la péninsule suscité a eut lieu en 1411H bien après que je sois sorti pour étudier.
Et j’avais à l’époque, par la grâce d’Allah, terminé la mémorisation du Quran et du Jardin des vertueux, et certains textes résumés
qu’Allah m’a permis de mémoriser.
Et à l’époque, j’étudiais et
j’enseignais à mes frères étudiants certains cours privés,
et à Allah la louange et le bienfait
quatriéme mensonges : « Et shaykh Muqbil rahimahou allah l’a viré. Ses agissements ont poussé le shaykh à le virer et notre frère :
shaykh ‘Abd Ar Rahman Ibn ‘Umar Ibn Mar’i a intercédé pour qu’il reste.
Shaykh Yahya répond :
Et tout cela est un mensonge grillé. Je n’ai pas travaillé dans une boutique « tout à deux riyals »
ni à cinq riyals ni dans un garage et shaykh ne m’a jamais viré
Mais au contraire il m’aimait et me respectait, et je l’aimais et l’honorais.
Et j’étais l’imam de la prière lors de Ramadan et d’autres fois.
Et (shaykh Muqbil) m’a mis en tant que remplaçant lors de ses absences et maladies. Et lorsque je faisais le cours et qu’il était malade,
il se pouvait qu’il passe au milieu des gens du fond à la fin du cours et les poussait à se rapprocher en leur disant : « Le cours ! Le cours ! » Puis il partait chez lui.
Et parfois il s’asseyait dans l’assise et écoutait. Et tout cela montre sa grande humilité[3]
Et toute personne alors présente sait bien cela. Et il envoyait nombre de ceux qui l’interrogeait à moi. Puis je leur répondais par écrit.
Puis ça lui était présenté et appuyait (la fatwa) et me vantait.
Et nous avions pris l’habitude avec lui à débattre dans les cours certains sujets. Parfois il était bavard et acceptait
le débat et d’autres fois il disait : « Tais-toi untel. » ou
« assis-toi untel.
» et poursuivait le cours.
Et tout ceci était pour nous un enseignement
et une éducation donnés par un noble enseignant à ses élèves qu’il aimait.
Et pour plus de détails :
Regarde la preuve de ce qu’il y avait entre moi et lui comme amour dans ses introductions à mes livres comme l’introduction du livre
« Les règles du vendredi »
qu’il a préfacé lors de la maladie durant laquelle il est mort[4]
et parmi ce qu’il y a dit :
« et lorsque m’est parvenu le livre de notre frère Yahya, mon amour pour lui m’a poussé à lire le livre alors que je suis allongé
sur le dos pour des causes qu’Allah connait… »
Je cite ceci alors que, par Allah,
je n’aime pas le citer[5],
mais la jalousie et la perversité d’Ubayd Al Jabiri et ses professeurs
qui lui soufflent ses mensonges m’y contraignent.
Et je dis qu’il est important que je
rappelle à cet homme et aux autres menteurs certaines choses
__________________
notre shaykh a répondu (le 6) à quatre de ses mensonges éhontés
‘Ubayd Al Jabiri a dit : « Et j’ai déjà dit certaines fois qu’il n’a pas grandi dans la science,
Al Hajuri a grandi au marché car il faisait des boulots au royaume de Su’udiyyah. Il travaillait en tant que professionnel.
Une version dit qu’il travaillait dans un garage.
Une autre dit qu’il travaillait
dans des bazars appelés « tout à deux riyals » ou « tout à cinq riyals.
shaykh yahya a répondu :
Voici deux mensonges et il a enchainé avec un troisième en disant :
« Mais lorsqu’est survenu la deuxième guerre dans la péninsule,
et que le gouvernement yéménite a appelé ses ressortissants qui était en Su’udiyyah à revenir,
il est revenu comme les autres et est parti au markaz de Dammaj.
Et toute personne présente à l’époque sait bien que c’est au cours de 1405H que je suis venu étudier à Dar Al Hadith de Dammaj
auprès de shaykh Muqbil Ibn Hadi Al Wadi’i
Et il est connu des gens que la guerre de la péninsule suscité a eut lieu en 1411H bien après que je sois sorti pour étudier.
Et j’avais à l’époque, par la grâce d’Allah, terminé la mémorisation du Quran et du Jardin des vertueux, et certains textes résumés
qu’Allah m’a permis de mémoriser.
Et à l’époque, j’étudiais et
j’enseignais à mes frères étudiants certains cours privés,
et à Allah la louange et le bienfait
quatriéme mensonges : « Et shaykh Muqbil rahimahou allah l’a viré. Ses agissements ont poussé le shaykh à le virer et notre frère :
shaykh ‘Abd Ar Rahman Ibn ‘Umar Ibn Mar’i a intercédé pour qu’il reste.
Shaykh Yahya répond :
Et tout cela est un mensonge grillé. Je n’ai pas travaillé dans une boutique « tout à deux riyals »
ni à cinq riyals ni dans un garage et shaykh ne m’a jamais viré
Mais au contraire il m’aimait et me respectait, et je l’aimais et l’honorais.
Et j’étais l’imam de la prière lors de Ramadan et d’autres fois.
Et (shaykh Muqbil) m’a mis en tant que remplaçant lors de ses absences et maladies. Et lorsque je faisais le cours et qu’il était malade,
il se pouvait qu’il passe au milieu des gens du fond à la fin du cours et les poussait à se rapprocher en leur disant : « Le cours ! Le cours ! » Puis il partait chez lui.
Et parfois il s’asseyait dans l’assise et écoutait. Et tout cela montre sa grande humilité[3]
Et toute personne alors présente sait bien cela. Et il envoyait nombre de ceux qui l’interrogeait à moi. Puis je leur répondais par écrit.
Puis ça lui était présenté et appuyait (la fatwa) et me vantait.
Et nous avions pris l’habitude avec lui à débattre dans les cours certains sujets. Parfois il était bavard et acceptait
le débat et d’autres fois il disait : « Tais-toi untel. » ou
« assis-toi untel.
» et poursuivait le cours.
Et tout ceci était pour nous un enseignement
et une éducation donnés par un noble enseignant à ses élèves qu’il aimait.
Et pour plus de détails :
Regarde la preuve de ce qu’il y avait entre moi et lui comme amour dans ses introductions à mes livres comme l’introduction du livre
« Les règles du vendredi »
qu’il a préfacé lors de la maladie durant laquelle il est mort[4]
et parmi ce qu’il y a dit :
« et lorsque m’est parvenu le livre de notre frère Yahya, mon amour pour lui m’a poussé à lire le livre alors que je suis allongé
sur le dos pour des causes qu’Allah connait… »
Je cite ceci alors que, par Allah,
je n’aime pas le citer[5],
mais la jalousie et la perversité d’Ubayd Al Jabiri et ses professeurs
qui lui soufflent ses mensonges m’y contraignent.
Et je dis qu’il est important que je
rappelle à cet homme et aux autres menteurs certaines choses
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