Assalamou 3alaykum wa rahmatu Allahi
Résumé de la Vie de Cheikh Yahya al Hajouri qu'Allah le préserve
==============
Résumé de la Vie de Cheikh Yahya al Hajouri qu'Allah le préserve
==============
La louange est à Allah, louanges bonnes nombreuses et bénies.
J'atteste qu'il n'y a aucune divinité autre qu'Allah seul, sans associés,
et j'atteste que Mohammad est son serviteur et son messager.
ensuite,
On m'a demandé d'écrire un résumé concernant ma naissance
mon nom , mon pays, là où j'ai grandi et certaines choses
qui s'y rapportent. Après les demandes répétées de la part de personnes bien aimées qu'Allah les
anoblissent ,
j'ai décidé de répondre à leurs demandes en écrivant ces quelques lignes :
je dis et c'est par Allah que vient la réussite
quant à mon nom :
je suis Yahya fils de Ali, fils d'Ahmed, fils de Ali, fils de Ya3qob Al Hajouri.
de la tribu des gens de Wahane de la ville de "Al Hanjara" au pied de la montagne "Al Qo3aydana".
qu'Allah les favorise dans la quête de la science du Livre ( Coran) et la Sunna de son Prophète.
Ensuite mon grand-père Ahmed fils de Ali, fils de Ya3qoub a déménagé vers un petit village assez
éloigné que l'on appelle " Jabar " de la tribu des Zaghabiya. Il s'est marié avec une personne de cette
tribu, qui sont les oncles maternels de mon père. Qui lui-même a grandi chez eux et s'est également
marié avec ma mère qui fait partie d'une famille aisée du village de Zaghabiya.
qu'Allah pardonne aux morts et améliore la situation de ceux qui sont encore en vie.
Et c'est Dans ce village où je suis né il y a, à peu près 40 ans ,pendant les jours que l'on appelait "la
révolution du peuple Yéménite."
Mon père, qu'Allah le préserve et allonge ses jours dans son obéissance, est un passionné
d'agriculture, il cultivait un grand champ dont il tirait un très grand profit comme le maïs, le sésame
et autres produits de la terre, à tel point que des gens lui empruntaient du maïs et de la canne à sucre
pendant les années de sécheresse.
Allah lui a aussi donné du bétail comme des moutons et des vaches . Donc il vivait aisément wa
lillahi al hamd .
Il nous a donné, à moi et mes frères une bonne éducation, loin du qat(drogue en feuille que mâche
les Yéménites), de la cigarette, du tabac à priser (**) et autres catastrophes. La pire des choses qui
le mettait en colère, était de voir l'un de nous, être déficient dans la prière en groupe ou les prières
surérogatoires (raatibas). Et la chose qu'il souhaitait le plus, était de voir l'un de nous devenir un
savant.
Il n'y avait rien d'autre ( à l'époque) que l'enseignement du Qoran dans les écoles coraniques. Mon
père me confia au Cheikh de confiance de ce village, son jurisconsulte ,celui qui faisait les prêches
du vendredi : Yahya al 3attaby qu' Allah lui fasse miséricorde.
L'instruction dans ces écoles coraniques comme dans le temps, consistait à enseigner le Qoran en
regardant dessus et à y enseigner l'écriture. Et en général, celui qui en sortait devenait le juriste de
son village , Imam, Prêcheur dans certaines Prêches écrites et rédigeait également les Actes
notariaux et autres.
J'étais le plus aimé parmi les étudiants du jurisconsulte Al 3attaby qu'Allah lui fasse miséricorde.
Et quand j'eus terminé mes études dans cette école, sachant lire le Qoran et ayant acquis quelques
connaissances en écriture, mon père décida de m'emmener dans une ville de Zaydiyya, car elle était
réputée chez les gens du coin comme étant une ville de Savoir et c'était ceux de cette ville qui
légiféraient sur les affaires de divorce et d'héritage.
Mon père qu'Allah le préserve, est un homme qui aime la science et la religion, qui jeûne et prie
beaucoup. Je n'ai jamais connu de lui qu'il est mangé un sou qui provenait de l'illicite.
Mais il n'avait aucune connaissance concernant les sectes égarées comme les soufis, les chiites ou
autres.
Il les respectait et eux le visitaient souvent. Celui parmi eux qui lui rendait visite était reçu avec les
plus grands honneurs. Allah 3azza wa Jalla, m'a préservé d'étudier chez ces soufis grâce à ma mère,
-qu'Allah la préserve et lui donne une des meilleures fins- qui pleurait pour que je ne parte pas seul,
n'ayant personne de chez nous qui pouvait m'accompagner et rester avec moi alors que j'étais petit.
Mon père m'a donc fait rester et garder les moutons. Il a été le premier, qu'Allah le préserve, à
construire une mosquée dans notre village où il habite actuellement, faite de planches et de pailles ..
Bien que c'était une petite mosquée qui supportait à peu près 40 prieurs, elle était considérée à
l'époque, comme étant la grande mosquée des petits villages aux alentours. Lorsqu'elle est tombée
en ruine, il l'a reconstruite en pierre et l'agrandit et j'étais son imam. Le jour du vendredi on mettait
quelqu'un à ma place pour faire paître les moutons et je leur faisais des prêches toutes faites, que je
tirais en général du livre « Al Foutouhate Arrabaniya » de Al Bayhaani -qu'Allah lui fasse
miséricorde- jusqu'à ce que je l'apprenne presque par cœur tellement je la répétais.
Ensuite je suis parti pour l'Arabie Saoudite où j'assistais à des cours de lecture du Coran chez
l'éminent Cheikh le Réciteur Chahir 3obaid Allah Al Afghani qu'Allah le préserve, après al Asr ,
dans la ville de Abha. Nous écoutions un peu de Sahih Moslim avec lequel il commençait, avant de
nous faire réciter. Puis il est parti en voyage et je me suis rendu chez le Récitateur Cheikh
Mohammad A3'zam qui enseignait le Coran dans la mosquée "Al Yahya". Je lui récitais jusqu'à
sourate Al A3raf, puis Cheikh est également parti en voyage et j'ai fini la lecture du Qoran selon la
transmission de Hafs par 3asim auprès du Réciteur Mohammed Bachir et la louange est à Allah.
A cette période, avec tout l'amour que j'avais pour la science, je n'ai pu trouver personne qui puisse
m'orienter vers Cheikh Ibn Baz ou un autre, parmi les savants du royaume qui enseignaient
rahimahum Allah (qu'Allah leur accorde sa miséricorde à tous).
Puis, j'ai entendu parler de l'éminent savant Cheikh Moqbil rahimahu Allah, Savant Salafi qui
enseignait les Sciences du Livre d'Allah et de la Tradition du Prophète Paix et Bénédiction sur lui, à
Dammaj, une des villes de la province de Sa3da -qu'Allah la préserve et octroie aux gens de
Dammaj tout le bien possible.
Je me suis rendu dans sa maison bénie en 1425 de l'hégire de Nabi Paix et Bénédiction soit sur lui .
Mon père est venu avec moi et m'a recommandé en bien auprès de Cheikh rahimahu Allah. Puis est
reparti et n'a jamais cessé de m'aider financièrement ici et là, dans la recherche de la science .
et depuis cette date, je recherche la science. N'aimant pas beaucoup voyager ni perdre le moindre
temps, Allah 3azza wa Jalla, m'a facilité et m'a accordé par le biais de notre Cheikh Salafi -
Prolifique, Spécialiste des Sciences du Hadith - beaucoup de bien dans l'apprentissage et la maitrise
dans divers domaines de la science.
Et comme à l'accoutumée dans ce Centre béni, en plus de ce que l'on étudiait tous, chez le Cheikh
des Savants Salafis aux Yémen :-Moqbil Bin Hadi Al wadi3i rahimahu Allah- j'ajoutais quelques
cours de Grammaire, de Dogme et de Jurisprudence etc., pris chez certains autres savants éminents
dans le Centre, qui faisaient partie des grands étudiants de notre Cheikh Al Imam Al Wadi3i
rahimahu Allah. qu'Allah les récompense tous.
Puis notre Cheikh : Moqbil, qu'Allah lui accorde le Firdaws, me demanda de le seconder dans
l'enseignement quand il voyageait ou qu'il tombait malade. Lorsque sa mort fut proche rahimahu
Allah, sa dernière volonté fut que je lui succède comme c'était le cas avant.
Les ennemis du Centre avec leurs mauvaises pensées croyaient qu'avec la mort de cheikh rahimahu
Allah, cette Da3wa allait également mourir et que l'établissement deviendrait un entrepôt de foin et
un endroit pour mâcher du qat( la drogue du Yémen), comme nous l'avons entendu et d'autres, avant
et pendant la période où cheikh était malade. Après qu'Allah, après la mort de Cheikh rahimahu
Allah, ait orienté les cœurs des serviteurs vers ce bienfait (Dammaj), que la da3wa se soit encore
plus répandue et le nombre des étudiants en science soit devenu encore plus important qu'à l'époque
du fondateur du centre (Dar Al Hadith de Dammaj) : notre Cheikh l'Imam Al Wadi3y _q'Allah lui
fasse miséricorde_, cela enragea certain parmi les anciens élèves de Cheikh atteints par la maladie
de la jalousie ainsi que d'autres parmi les affairistes (*)avides de cette vie et autres fauteurs de
troubles et partisans sectaires. Mais Allah repoussa leurs méfaits et détruisit leurs ruses.
la Da3wa n'a pas cessé d'aller vers l'avant et elle se porte bien. Et tout le mérite revient à Allah. et
nous demandons à Allah 3azza wa Jal qu'il nous préserve, nous, notre religion, notre da3wa et qu'il
nous éloigne ainsi que notre pays et tous les pays musulmans, des troubles apparents et cachés.
et la louange revient à Allah seul.
écrit par
Abou Abdarrahman Yahya Bin Ali Bin Ahmed Bin Ali Bin Ya3qoob
al Hajouri
le 19 du mois jumada al awwal 1428
(5 juin 2007)
**********************
(*) Attitude qui consiste à tout assujettir à l'argent sans scrupule
(**) Le tabac à priser est un tabac broyé en fine poudre qui est consommé par inhalation, c'est-à-dire par voie nasale.
http://www.aloloom.net/vb/showthread...CE%CA%D5%D1%C9
puis copier sur
http://www.sahab.net/forums/showthre...A7%D9%84%D8%AD
%D8%AC%D9%88%D8%B1%D9%8A
traduit par Hassan Bin Bouch3ayb Zoubiri (Abouzaid)
Pour téléchérger au format Pdf
P68K1P9.pdf - 50.0 Kb
J'atteste qu'il n'y a aucune divinité autre qu'Allah seul, sans associés,
et j'atteste que Mohammad est son serviteur et son messager.
ensuite,
On m'a demandé d'écrire un résumé concernant ma naissance
mon nom , mon pays, là où j'ai grandi et certaines choses
qui s'y rapportent. Après les demandes répétées de la part de personnes bien aimées qu'Allah les
anoblissent ,
j'ai décidé de répondre à leurs demandes en écrivant ces quelques lignes :
je dis et c'est par Allah que vient la réussite
quant à mon nom :
je suis Yahya fils de Ali, fils d'Ahmed, fils de Ali, fils de Ya3qob Al Hajouri.
de la tribu des gens de Wahane de la ville de "Al Hanjara" au pied de la montagne "Al Qo3aydana".
qu'Allah les favorise dans la quête de la science du Livre ( Coran) et la Sunna de son Prophète.
Ensuite mon grand-père Ahmed fils de Ali, fils de Ya3qoub a déménagé vers un petit village assez
éloigné que l'on appelle " Jabar " de la tribu des Zaghabiya. Il s'est marié avec une personne de cette
tribu, qui sont les oncles maternels de mon père. Qui lui-même a grandi chez eux et s'est également
marié avec ma mère qui fait partie d'une famille aisée du village de Zaghabiya.
qu'Allah pardonne aux morts et améliore la situation de ceux qui sont encore en vie.
Et c'est Dans ce village où je suis né il y a, à peu près 40 ans ,pendant les jours que l'on appelait "la
révolution du peuple Yéménite."
Mon père, qu'Allah le préserve et allonge ses jours dans son obéissance, est un passionné
d'agriculture, il cultivait un grand champ dont il tirait un très grand profit comme le maïs, le sésame
et autres produits de la terre, à tel point que des gens lui empruntaient du maïs et de la canne à sucre
pendant les années de sécheresse.
Allah lui a aussi donné du bétail comme des moutons et des vaches . Donc il vivait aisément wa
lillahi al hamd .
Il nous a donné, à moi et mes frères une bonne éducation, loin du qat(drogue en feuille que mâche
les Yéménites), de la cigarette, du tabac à priser (**) et autres catastrophes. La pire des choses qui
le mettait en colère, était de voir l'un de nous, être déficient dans la prière en groupe ou les prières
surérogatoires (raatibas). Et la chose qu'il souhaitait le plus, était de voir l'un de nous devenir un
savant.
Il n'y avait rien d'autre ( à l'époque) que l'enseignement du Qoran dans les écoles coraniques. Mon
père me confia au Cheikh de confiance de ce village, son jurisconsulte ,celui qui faisait les prêches
du vendredi : Yahya al 3attaby qu' Allah lui fasse miséricorde.
L'instruction dans ces écoles coraniques comme dans le temps, consistait à enseigner le Qoran en
regardant dessus et à y enseigner l'écriture. Et en général, celui qui en sortait devenait le juriste de
son village , Imam, Prêcheur dans certaines Prêches écrites et rédigeait également les Actes
notariaux et autres.
J'étais le plus aimé parmi les étudiants du jurisconsulte Al 3attaby qu'Allah lui fasse miséricorde.
Et quand j'eus terminé mes études dans cette école, sachant lire le Qoran et ayant acquis quelques
connaissances en écriture, mon père décida de m'emmener dans une ville de Zaydiyya, car elle était
réputée chez les gens du coin comme étant une ville de Savoir et c'était ceux de cette ville qui
légiféraient sur les affaires de divorce et d'héritage.
Mon père qu'Allah le préserve, est un homme qui aime la science et la religion, qui jeûne et prie
beaucoup. Je n'ai jamais connu de lui qu'il est mangé un sou qui provenait de l'illicite.
Mais il n'avait aucune connaissance concernant les sectes égarées comme les soufis, les chiites ou
autres.
Il les respectait et eux le visitaient souvent. Celui parmi eux qui lui rendait visite était reçu avec les
plus grands honneurs. Allah 3azza wa Jalla, m'a préservé d'étudier chez ces soufis grâce à ma mère,
-qu'Allah la préserve et lui donne une des meilleures fins- qui pleurait pour que je ne parte pas seul,
n'ayant personne de chez nous qui pouvait m'accompagner et rester avec moi alors que j'étais petit.
Mon père m'a donc fait rester et garder les moutons. Il a été le premier, qu'Allah le préserve, à
construire une mosquée dans notre village où il habite actuellement, faite de planches et de pailles ..
Bien que c'était une petite mosquée qui supportait à peu près 40 prieurs, elle était considérée à
l'époque, comme étant la grande mosquée des petits villages aux alentours. Lorsqu'elle est tombée
en ruine, il l'a reconstruite en pierre et l'agrandit et j'étais son imam. Le jour du vendredi on mettait
quelqu'un à ma place pour faire paître les moutons et je leur faisais des prêches toutes faites, que je
tirais en général du livre « Al Foutouhate Arrabaniya » de Al Bayhaani -qu'Allah lui fasse
miséricorde- jusqu'à ce que je l'apprenne presque par cœur tellement je la répétais.
Ensuite je suis parti pour l'Arabie Saoudite où j'assistais à des cours de lecture du Coran chez
l'éminent Cheikh le Réciteur Chahir 3obaid Allah Al Afghani qu'Allah le préserve, après al Asr ,
dans la ville de Abha. Nous écoutions un peu de Sahih Moslim avec lequel il commençait, avant de
nous faire réciter. Puis il est parti en voyage et je me suis rendu chez le Récitateur Cheikh
Mohammad A3'zam qui enseignait le Coran dans la mosquée "Al Yahya". Je lui récitais jusqu'à
sourate Al A3raf, puis Cheikh est également parti en voyage et j'ai fini la lecture du Qoran selon la
transmission de Hafs par 3asim auprès du Réciteur Mohammed Bachir et la louange est à Allah.
A cette période, avec tout l'amour que j'avais pour la science, je n'ai pu trouver personne qui puisse
m'orienter vers Cheikh Ibn Baz ou un autre, parmi les savants du royaume qui enseignaient
rahimahum Allah (qu'Allah leur accorde sa miséricorde à tous).
Puis, j'ai entendu parler de l'éminent savant Cheikh Moqbil rahimahu Allah, Savant Salafi qui
enseignait les Sciences du Livre d'Allah et de la Tradition du Prophète Paix et Bénédiction sur lui, à
Dammaj, une des villes de la province de Sa3da -qu'Allah la préserve et octroie aux gens de
Dammaj tout le bien possible.
Je me suis rendu dans sa maison bénie en 1425 de l'hégire de Nabi Paix et Bénédiction soit sur lui .
Mon père est venu avec moi et m'a recommandé en bien auprès de Cheikh rahimahu Allah. Puis est
reparti et n'a jamais cessé de m'aider financièrement ici et là, dans la recherche de la science .
et depuis cette date, je recherche la science. N'aimant pas beaucoup voyager ni perdre le moindre
temps, Allah 3azza wa Jalla, m'a facilité et m'a accordé par le biais de notre Cheikh Salafi -
Prolifique, Spécialiste des Sciences du Hadith - beaucoup de bien dans l'apprentissage et la maitrise
dans divers domaines de la science.
Et comme à l'accoutumée dans ce Centre béni, en plus de ce que l'on étudiait tous, chez le Cheikh
des Savants Salafis aux Yémen :-Moqbil Bin Hadi Al wadi3i rahimahu Allah- j'ajoutais quelques
cours de Grammaire, de Dogme et de Jurisprudence etc., pris chez certains autres savants éminents
dans le Centre, qui faisaient partie des grands étudiants de notre Cheikh Al Imam Al Wadi3i
rahimahu Allah. qu'Allah les récompense tous.
Puis notre Cheikh : Moqbil, qu'Allah lui accorde le Firdaws, me demanda de le seconder dans
l'enseignement quand il voyageait ou qu'il tombait malade. Lorsque sa mort fut proche rahimahu
Allah, sa dernière volonté fut que je lui succède comme c'était le cas avant.
Les ennemis du Centre avec leurs mauvaises pensées croyaient qu'avec la mort de cheikh rahimahu
Allah, cette Da3wa allait également mourir et que l'établissement deviendrait un entrepôt de foin et
un endroit pour mâcher du qat( la drogue du Yémen), comme nous l'avons entendu et d'autres, avant
et pendant la période où cheikh était malade. Après qu'Allah, après la mort de Cheikh rahimahu
Allah, ait orienté les cœurs des serviteurs vers ce bienfait (Dammaj), que la da3wa se soit encore
plus répandue et le nombre des étudiants en science soit devenu encore plus important qu'à l'époque
du fondateur du centre (Dar Al Hadith de Dammaj) : notre Cheikh l'Imam Al Wadi3y _q'Allah lui
fasse miséricorde_, cela enragea certain parmi les anciens élèves de Cheikh atteints par la maladie
de la jalousie ainsi que d'autres parmi les affairistes (*)avides de cette vie et autres fauteurs de
troubles et partisans sectaires. Mais Allah repoussa leurs méfaits et détruisit leurs ruses.
la Da3wa n'a pas cessé d'aller vers l'avant et elle se porte bien. Et tout le mérite revient à Allah. et
nous demandons à Allah 3azza wa Jal qu'il nous préserve, nous, notre religion, notre da3wa et qu'il
nous éloigne ainsi que notre pays et tous les pays musulmans, des troubles apparents et cachés.
et la louange revient à Allah seul.
écrit par
Abou Abdarrahman Yahya Bin Ali Bin Ahmed Bin Ali Bin Ya3qoob
al Hajouri
le 19 du mois jumada al awwal 1428
(5 juin 2007)
**********************
(*) Attitude qui consiste à tout assujettir à l'argent sans scrupule
(**) Le tabac à priser est un tabac broyé en fine poudre qui est consommé par inhalation, c'est-à-dire par voie nasale.
http://www.aloloom.net/vb/showthread...CE%CA%D5%D1%C9
puis copier sur
http://www.sahab.net/forums/showthre...A7%D9%84%D8%AD
%D8%AC%D9%88%D8%B1%D9%8A
traduit par Hassan Bin Bouch3ayb Zoubiri (Abouzaid)
Pour téléchérger au format Pdf
P68K1P9.pdf - 50.0 Kb
تعليق