La question : Quelle est (la voie) exemplaire qu’emprunte le mouslim dans sa vie quotidienne ?
La réponse du Shaykh Najmi, qu’Allah lui fasse miséricorde :
Qu’il commence sa journée dans l’obéissance et qu’il l’achève sur une obéissance. Il veille à remplir l’ensemble de sa journée d’obéissances, cela en prenant pour exemple le noble Prophète, qu’Allah prie sur Lui et Le salue. Si lui est possible de se réveiller avant l’aube, c’est-à-dire au moment du sahar (peu avant l’aube) pour prier, cela est une bonne chose. Ou au moins, qu’il fasse parti de ceux qui prient le fajr en groupe. Après la prière, il lit les invocations instaurées après les prières.
Il récite ensuite son wird (habitude journalière) du Coran et de la Sunna. Il lit son chapitre journalier du Saint Coran s’il n’a pas pu le lire lors de la prière nocturne et même s’il est minime. Après s’être préparé, il se dirige vers son travail quotidien, qu’il soit fonctionnaire ou qu’il est travail autonome, tout cela en ressentant l’immensité d’Allah dans son cœur, en se rappelant de lui par sa langue, en se remémorant sa présence dans son âme. Il n’approche pas d’un acte sans avoir pris connaissance de son jugement. S’il s’agit d’une chose droite, il la fait. Par contre, s’il s’agit d’une erreur, il la délaisse. S’il ignore, il s’abstient jusqu’à ce qu’il demande. Il, le Très-Haut, a dit : {Demandez donc aux gens du rappel si vous ne savez pas.}
Lorsque l’heure de la prière intervient et qu’il entend l’appel, il s’empresse de l’accomplir elle ainsi que les prières surérogatoires et les invocations qui lui sont adjointes. Après le maghrib, il lit son wird quotidien qu’il a lu après le fajr. Dès qu’il a prié la ‘icha, il rentre chez lui. Il se prépare à dormir ne cessant de se rappeler d’Allah. Ainsi, il convient pour le mouslim d’accomplir ses journées, en prenant pour exemple le Prophète, qu’Allah prie sur Lui et Le salue.
La question : Que conseillez-vous au mouslim ces jours-ci ?
La réponse du Shaykh Najmi, qu’Allah lui fasse miséricorde :
Je lui conseille de vivre sur le Tawhid et le dogme authentique, c’est-à-dire en accomplissant ses obligations et ses devoirs, en s’éloignant des péchés et des interdictions. Il est le compagnon des bons et s’écarte des mauvais. Il suit les sounnas et s’écartent des innovations. Il se méfie des fitan car elles sont nombreuses ces temps-ci. Je lui recommande de rester chez lui et de pleurer de ses péchés, comme le Prophète, qu’Allah prie sur Lui et Le salue, dit à l’un de Ses Compagnons : « Ne te sépare de ta maison et pleure de ton péché. » Et c’est Allah qui offre la réussite.
(Fath Ar Rabi Al Wadûd [1/p.103-104])
La réponse du Shaykh Najmi, qu’Allah lui fasse miséricorde :
Qu’il commence sa journée dans l’obéissance et qu’il l’achève sur une obéissance. Il veille à remplir l’ensemble de sa journée d’obéissances, cela en prenant pour exemple le noble Prophète, qu’Allah prie sur Lui et Le salue. Si lui est possible de se réveiller avant l’aube, c’est-à-dire au moment du sahar (peu avant l’aube) pour prier, cela est une bonne chose. Ou au moins, qu’il fasse parti de ceux qui prient le fajr en groupe. Après la prière, il lit les invocations instaurées après les prières.
Il récite ensuite son wird (habitude journalière) du Coran et de la Sunna. Il lit son chapitre journalier du Saint Coran s’il n’a pas pu le lire lors de la prière nocturne et même s’il est minime. Après s’être préparé, il se dirige vers son travail quotidien, qu’il soit fonctionnaire ou qu’il est travail autonome, tout cela en ressentant l’immensité d’Allah dans son cœur, en se rappelant de lui par sa langue, en se remémorant sa présence dans son âme. Il n’approche pas d’un acte sans avoir pris connaissance de son jugement. S’il s’agit d’une chose droite, il la fait. Par contre, s’il s’agit d’une erreur, il la délaisse. S’il ignore, il s’abstient jusqu’à ce qu’il demande. Il, le Très-Haut, a dit : {Demandez donc aux gens du rappel si vous ne savez pas.}
Lorsque l’heure de la prière intervient et qu’il entend l’appel, il s’empresse de l’accomplir elle ainsi que les prières surérogatoires et les invocations qui lui sont adjointes. Après le maghrib, il lit son wird quotidien qu’il a lu après le fajr. Dès qu’il a prié la ‘icha, il rentre chez lui. Il se prépare à dormir ne cessant de se rappeler d’Allah. Ainsi, il convient pour le mouslim d’accomplir ses journées, en prenant pour exemple le Prophète, qu’Allah prie sur Lui et Le salue.
La question : Que conseillez-vous au mouslim ces jours-ci ?
La réponse du Shaykh Najmi, qu’Allah lui fasse miséricorde :
Je lui conseille de vivre sur le Tawhid et le dogme authentique, c’est-à-dire en accomplissant ses obligations et ses devoirs, en s’éloignant des péchés et des interdictions. Il est le compagnon des bons et s’écarte des mauvais. Il suit les sounnas et s’écartent des innovations. Il se méfie des fitan car elles sont nombreuses ces temps-ci. Je lui recommande de rester chez lui et de pleurer de ses péchés, comme le Prophète, qu’Allah prie sur Lui et Le salue, dit à l’un de Ses Compagnons : « Ne te sépare de ta maison et pleure de ton péché. » Et c’est Allah qui offre la réussite.
(Fath Ar Rabi Al Wadûd [1/p.103-104])